sous mes fenêtres
quand l’histoire s’écrit
PARIS 2024
PARIS 2024
quand l’histoire s’écrit
sous mes fenêtres
Rater les Jeux une fois, c’est dur. Les rater deux fois, c’est inacceptable. Et pourtant…
Rebondir après Tokyo
un nouvel objectif en ligne de mire
2020 aurait dû être mon premier grand rendez-vous paralympique. Une seule place. C’est tout ce qu’il m’a manqué pour être à Tokyo.
Après cet échec, j’aurais pu tout arrêter. Mais renoncer n’a jamais fait partie de mon ADN.
Paris 2024 se dessinait déjà à l’horizon. Ces Jeux ne seraient pas seulement ceux de la France, ils seraient les miens.
Trois ans pour prouver que je méritais ma place. Trois ans pour aller chercher ce qui m’avait échappé de si peu. Trois ans pour bâtir quelque chose de plus grand que moi.
la Team Paris 2024
On ne construit pas un rêve seul
Un athlète est seul sur le terrain, mais derrière lui, il y a une équipe.
Préparateurs physiques, coachs, kinés, partenaires, proches… Chacun d’eux a joué un rôle essentiel. Parce que Paris 2024 n’était pas seulement un objectif personnel, c’était un projet collectif.
En conférence, j’aime partager cette idée : aucun succès ne se construit seul. Que ce soit en sport ou en entreprise, la force d’un collectif fait toute la différence.
Envie d’inspirer votre équipe avec ces leçons du sport de haut niveau ?
Contactez-moi pour une conférence
C’est un combat permanent. Mais c’est aussi ce qui rend ce sport passionnant.
Ce qui m’a poussé à en faire plus
la Team Paris 2024
Une catégorie, une bataille
Un athlète est seul sur le terrain, mais derrière lui, il y a une équipe.
Préparateurs physiques, coachs, kinés, partenaires, proches… Chacun d’eux a joué un rôle essentiel. Parce que Paris 2024 n’était pas seulement un objectif personnel, c’était un projet collectif.
En conférence, j’aime partager cette idée : aucun succès ne se construit seul. Que ce soit en sport ou en entreprise, la force d’un collectif fait toute la différence.
Envie d’inspirer votre équipe avec ces leçons du sport de haut niveau ?
Contactez-moi pour une conférence
Encore une place…
encore trop loin
Les qualifications ont été une bataille acharnée. Chaque tournoi comptait. Chaque point pouvait faire basculer le destin.
Quand la dernière compétition est arrivée, j’étais 8ᵉ au classement final.
Proche… mais pas assez.
Il restait un dernier espoir : un quota continental en Océanie. Une ultime carte à jouer. Mais le sort en a décidé autrement : je termine 9ᵉ.
Encore une place. Encore ce même scénario.
Le coup a été très dur à encaisser. Deux fois en quatre ans, voir son rêve s’échapper pour un détail.
Mais si j’avais appris quelque chose depuis Tokyo, c’est que l’histoire ne s’arrête jamais là.
Les qualifications ont été une bataille acharnée. Chaque tournoi comptait. Chaque point pouvait faire basculer le destin.
Quand la dernière compétition est arrivée, j’étais 8ᵉ au classement final.
Proche… mais pas assez.
Il restait un dernier espoir : un quota continental en Océanie. Une ultime carte à jouer. Mais le sort en a décidé autrement : je termine 9ᵉ.
Encore une place. Encore ce même scénario.
Le coup a été très dur à encaisser. Deux fois en quatre ans, voir son rêve s’échapper pour un détail. Mais si j’avais appris quelque chose depuis Tokyo, c’est que l’histoire ne s’arrête jamais là.
VIVRE LES JEUX AUTREMENT
J'ai couru le marathon pour tous de PARIS 2024
Ne pas être qualifié pour Paris 2024, c’était une chose. Mais vivre les Jeux depuis chez moi en était une autre.
J’habite entre le Parc des Princes et Roland-Garros. Autrement dit, en plein cœur du rêve olympique.
Alors, si je ne pouvais pas être sur les terrains en tant qu’athlète, j’allais les vivre différemment.
Quoi de plus fou, avec mon handicap à la jambe droite, que de courir 42 kilomètres et de finir le Marathon pour Tous de Paris 2024.
Ce défi fût un vrai challenge personnel, car je n’ai eu que 42 jours pour me préparer.
Si Paris 2024 devait être une fête du sport, j’allais en être un acteur autrement.
Ne pas être aux Jeux ne veut pas dire ne pas faire partie de l’histoire.
“Après avoir franchi la ligne d’arrivée du Marathon pour Tous de Paris 2024, j’ai été submergé par une profonde fierté et une estime de moi incomparable.”
Je veux que vous viviez cette expérience incroyable vous aussi. Venez courir avec moi, devenez finisher à votre tour et, ensemble, soutenons une cause qui nous tient à cœur.
Ne pas être qualifié pour Paris 2024, c’était une chose. Mais vivre les Jeux depuis chez moi en était une autre.
J’habite entre le Parc des Princes et Roland-Garros. Autrement dit, en plein cœur du rêve olympique.
Alors, si je ne pouvais pas être sur les terrains en tant qu’athlète, j’allais les vivre différemment.
Quoi de plus fou, avec mon handicap à la jambe droite, que de courir 42 kilomètres et de finir le Marathon pour Tous de Paris 2024.
Ce défi fût un vrai challenge personnel, car je n’ai eu que 42 jours pour me préparer.
42 jours pour transformer mon corps et mon esprit, pour briser les barrières du handicap et pour prouver que tout est possible !
Si Paris 2024 devait être une fête du sport, j’allais en être un acteur autrement.
Ne pas être aux Jeux ne veut pas dire ne pas faire partie de l’histoire.
“Après avoir franchi la ligne d’arrivée du Marathon pour Tous de Paris 2024, j’ai été submergé par une profonde fierté et une estime de moi incomparable.”
Je veux que vous viviez cette expérience incroyable vous aussi. Venez courir avec moi, devenez finisher à votre tour et, ensemble, soutenons une cause qui nous tient à cœur.
Une expérience immersive pour tous ceux qui veulent ressentir cette énergie paralympique.
La fin d’un rêve ?
Et maintenant ?
Quand les jeux sont terminés, quand un rêve que l’on a porté pendant des années s’effondre, que reste-t-il ?
Un immense vide. Une sensation d’échec. L’impression que plus rien n’a de sens.
Des semaines passent. Je doute.
Pourquoi continuer ? Pourquoi se battre encore ?
Est-ce que ça en vaut la peine ?
Tout mon corps me hurle d’arrêter. Mais au fond de moi, une petite voix refuse d’abandonner.
Je suis construit comme ça.
Repartir pour quatre ans ?
Pourquoi ? Comment ? Avec quel engagement ?
Je ne le sais pas encore. Mais une certitude s’impose : je dois répondre à ces questions.
Découvrez comment j’ai cherché ces réponses… et ce qui m’a mené vers Los Angeles 2028.
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