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et presque les miens

les premiers Jeux

du parabadminton…

TOKYO 2020

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TOKYO 2020

les premiers Jeux

du parabadminton…

et presque les miens

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Quand l’histoire s’écrit sous nos yeux, il faut être prêt à en faire partie. J’étais prêt. Mais parfois, une seule place peut tout changer.

TOKYO 2020

Un sport qui entre aux Jeux…et moi avec lui ?

Depuis toujours, le sport fait partie de ma vie. Mais ce n’est qu’après un cancer qui m’a privé d’un quadriceps que j’ai réellement compris ce qu’était le dépassement de soi. J’ai dû réapprendre à bouger, à trouver un nouvel équilibre, à transformer cette épreuve en force.

Puis, un jour, j’ai découvert le parabadminton.

Un sport explosif, rapide, stratégique. Un sport où tout se joue en une fraction de seconde, où l’adaptation prime sur la force brute. J’ai tout de suite accroché. Et sans que je le réalise pleinement au départ, j’entrais dans une discipline en pleine révolution : pour la première fois de l’histoire, le parabadminton allait être au programme des Jeux Paralympiques de Tokyo 2020.

J’avais une opportunité unique : non seulement participer à mes premiers Jeux, mais aussi écrire une page de l’histoire de mon sport.

SL3

Une catégorie, une bataille

Dans le parabadminton, chaque joueur évolue dans une catégorie adaptée à son handicap.

  • SL3 (la mienne) : concerne les joueurs avec un handicap lourd aux membres inférieurs, créant un déséquilibre conséquent sur le terrain. Pour s’adapter, nous évoluons sur un demi-terrain en simple, ce qui rend le jeu encore plus exigeant en termes de précision et de vitesse.

  • Il existe aussi les catégories SL4 (handicap plus léger aux membres inférieurs), SU5 (membres supérieurs), SH6 (personnes de petite taille) et WH1/WH2 (fauteuils roulants).

Être en SL3, c’est jouer sur un espace réduit, où chaque mouvement doit être chirurgical. C’est apprendre à compenser, à anticiper, à être plus malin que l’adversaire.

C’est un combat permanent. Mais c’est aussi ce qui rend ce sport passionnant.

Ce qui m’a poussé à en faire plus

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SL3

Une catégorie, une bataille

Dans le parabadminton, chaque joueur évolue dans une catégorie adaptée à son handicap.

  • SL3 (la mienne) : concerne les joueurs avec un handicap lourd aux membres inférieurs, créant un déséquilibre conséquent sur le terrain. Pour s’adapter, nous évoluons sur un demi-terrain en simple, ce qui rend le jeu encore plus exigeant en termes de précision et de vitesse.

  • Il existe aussi les catégories SL4 (handicap plus léger aux membres inférieurs), SU5 (membres supérieurs), SH6(personnes de petite taille) et WH1/WH2 (fauteuils roulants).

Être en SL3, c’est jouer sur un espace réduit, où chaque mouvement doit être chirurgical. C’est apprendre à compenser, à anticiper, à être plus malin que l’adversaire.

C’est un combat permanent. Mais c’est aussi ce qui rend ce sport passionnant.

Ce qui m’a poussé à en faire plus

La qualification

une course contre la montre

Tout s’est accéléré en 2019. Enchaînant les tournois internationaux, je suis monté dans le classement mondial jusqu’à atteindre la 6ᵉ place mondiale en SL3. Les six meilleurs seraient qualifiés pour Tokyo.

À ce moment-là, mon rêve était à portée de main.

Mais personne ne pouvait prévoir ce qui allait suivre.

Le COVID-19 a frappé. Le monde s’est arrêté. Et avec lui, la course à la qualification.

Des mois sans compétition, un classement gelé, puis brutalement réactivé. Quand les tournois ont repris, je suis redescendu à la 7ᵉ place mondiale. Une seule place trop bas.

Tokyo 2020 me glissait entre les doigts.

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Tout s’est accéléré en 2019. Enchaînant les tournois internationaux, je suis monté dans le classement mondial jusqu’à atteindre la 6ᵉ place mondiale en SL3. Les six meilleurs seraient qualifiés pour Tokyo.

À ce moment-là, mon rêve était à portée de main.

Mais personne ne pouvait prévoir ce qui allait suivre.

Le COVID-19 a frappé. Le monde s’est arrêté. Et avec lui, la course à la qualification.

Des mois sans compétition, un classement gelé, puis brutalement réactivé. Quand les tournois ont repris, je suis redescendu à la 7ᵉ place mondiale. Une seule place trop bas.

Tokyo 2020 me glissait entre les doigts.

Quand un rêve se joue à un détail…

L’annonce officielle est tombée. Les six premiers étaient qualifiés. Je n’étais que 7ᵉ.

Une place. Une seule.

C’est le genre de moment qui remet tout en question. Qui te fait revivre chaque match, chaque point perdu, chaque opportunité manquée. Et pourtant…

Ce n’était pas la fin de l’histoire.

L’échec ?

Seulement si on s’arrête là

Ne pas être à Tokyo a été un coup dur. Mais rapidement, j’ai compris quelque chose d’essentiel :

Un rêve ne disparaît pas, il se transforme.

J’ai décidé de ne pas rester sur cette frustration.

  • J’ai analysé ce qui m’avait manqué.

  • J’ai compris à quel point chaque détail comptait dans la haute performance.

  • J’ai redoublé d’efforts, avec une seule idée en tête : ne plus jamais être "celui qui manque les Jeux pour une place".

Alors, j’ai continué. Je me suis préparé.

J’ai commencé à partager mon expérience, à raconter ce que représente un tel parcours, ce que signifie perdre à un cheveu, mais surtout comment on rebondit.

Aujourd’hui, j’interviens auprès d’entreprises et d’équipes pour transmettre ces leçons du haut niveau :

  • Comment gérer l’échec et en faire un levier de progression

  • Comment avancer malgré l’incertitude, malgré les obstacles

  • Comment ne plus jamais laisser une opportunité nous échapper

Et pendant ce temps, un nouvel objectif s’est dessiné.

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Paris 2024

une revanche à domicile ?

Tokyo m’a échappé. Mais à l’horizon, un nouveau défi se profilait. Un défi encore plus grand.

Les Jeux de Paris 2024.

Chez moi.

Un rêve encore plus fort, une pression encore plus grande.

Une deuxième chance à ne pas manquer.

Mais cette fois… allais-je réussir à décrocher cette qualification tant convoitée ?

Envie de découvrir comment cette quête s’est poursuivie ?

Continuez l’histoire …

Ne pas être à Tokyo a été un coup dur. Mais rapidement, j’ai compris quelque chose d’essentiel :

Un rêve ne disparaît pas, il se transforme.

J’ai décidé de ne pas rester sur cette frustration.

  • J’ai analysé ce qui m’avait manqué.

  • J’ai compris à quel point chaque détail comptait dans la haute performance.

  • J’ai redoublé d’efforts, avec une seule idée en tête : ne plus jamais être "celui qui manque les Jeux pour une place".

Alors, j’ai continué. Je me suis préparé.

J’ai commencé à partager mon expérience, à raconter ce que représente un tel parcours, ce que signifie perdre à un cheveu, mais surtout comment on rebondit.

Aujourd’hui, j’interviens auprès d’entreprises et d’équipes pour transmettre ces leçons du haut niveau :

  • Comment gérer l’échec et en faire un levier de progression

  • Comment avancer malgré l’incertitude, malgré les obstacles

  • Comment ne plus jamais laisser une opportunité nous échapper

Et pendant ce temps,

un nouvel objectif s’est dessiné.

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